ça reste du riz. Si ya pas de gras, ça passe.
exemple après une courte recherche :
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2) Renouveler ses réserves de glycogène toute l'année.
Le stock de glycogène (= le carburant préféré des muscles) est fourni par les glucides contenus dans les céréales, les légumineuses, les fruits. Chez un sportif, la règle générale veut que l’on compte 6 à 7 g de glucides par jour et par kilo de poids corporel. Soit grosso modo, pour un athlète de 70 kg, entre 420 g et 490 g de glucides répartis sur la journée. Par exemple : 300 g de riz, 200 g de pain, 4 portions de fruits et 100 g de pommes de terre.
3) Avoir des apports en protéines suffisants
Il faut prévoir entre 1,2 et 1,4 g de protéines par jour et par kilo de poids corporel pour un sportif pratiquant un sport d'endurance. Cet apport peut être un peu plus important pour les sports de force. En pratique, le « régime » doit comporter des protéines maigres assez souvent lors des repas : des œufs brouillés au petit-déjeuner, du blanc de poulet au déjeuner, du poisson au dîner.
Des protéines de lactoserum peuvent venir en complément lors des fenêtres métaboliques.
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Car avant de finir médaillé d'or, cyclistes, marathoniens et nageurs s'entraînent des heures chaque jour, perdant au passage des milliers de calories - jusqu'à 8000 en une journée - qu'il leur faut compenser pour rester au sommet de leur forme. À titre de comparaison, les recommandations pour M. et Mme Tout-Le-Monde tournent à 2700 et 2200 calories quotidiennes.
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Il est donc faux de penser que les athlètes peuvent se nourrir exclusivement de pizzas et de crème glacée. Toutefois, les recommandations nutritionnelles prévoient effectivement que 35% de l'apport énergétique quotidien provienne de lipides. Rapporté aux 5000 à 6000 calories nécessaires aux athlètes masculins, ça peut donner l'impression d'un menu riche et gras!»
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Ce droit à manger beaucoup, qui fait rêver les habitués des régimes, apparaît donc plus comme un devoir pour les champions qui peuvent avoir du mal à manger suffisamment pour ne pas maigrir. «On a parfois du mal à les faire dîner, confiait Alicia Kendig, diététicienne du sport pour le comité olympique américain, à la radio NPR. Souvent, ils préféreraient faire la sieste.»